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Par oumaazedine le 27 Février 2015 à 09:51
« Mais au fond, Jean-Marc, dis-moi ce que moi, je dois prendre… »
À toutes les personnes qui me posent la question (dont ma mère), je recommande un complexe de vitamine D3 et de vitamine K2.
Pourquoi ? Parce qu’on ne peut souhaiter à personne de :
- retrouver un être cher couché sur le carrelage de sa cuisine, foudroyé par une congestion cérébrale…
- se retrouver soi-même dans une ambulance, toute sirène hurlante, avec les artères du cœur bouchées…
- finir sa vie en chaise roulante ou dans un lit d’hôpital, parce qu’on a les os si fragiles que la hanche, le poignet, le col du fémur se brisent comme du verre…
- ou encore de subir les douleurs épouvantables d’un cancer, alors qu’on aurait pu l’éviter.
Or, la vitamine D3 et la vitamine K2, sans bien sûr représenter une protection absolue, réduisent de façon significative chacun de ces risques, plus que toute autre substance, qu’elle soit naturelle ou non.
Le duo de base de la complémentation nutritionnelle
Vitamine D3 et vitamine K2 forment le duo de base des compléments nutritionnels, avant même les oméga-3, le magnésium, les multivitamines et les probiotiques.
Je parle bien sûr de complémentation nutritionnelle généraliste, celle qui nous concerne tous.
Après, suivant le terrain, les sensibilités, les maladies, chacun adopte sa stratégie ciblée, avec des produits spéciaux pour le cerveau, le cœur, l’immunité, les articulations, la prostate, etc.
Mais le « tronc commun », c’est la vitamine D3 et la vitamine K2.
Manque de vitamine D : + 57 % de risques de mourir prématurément
La vitamine D3 est la forme la plus assimilable de la vitamine D.
Une grande étude parue en juin 2014 dans le British Medical Journal a indiqué que des taux bas de vitamine D sont liés à une augmentation de la mortalité de 57 % toutes causes confondues [1].
Selon une étude réalisée par les trois spécialistes de la vitamine D – WB Grant, CF Garland, et MF Holick – la seule Grande-Bretagne connaitrait 22 000 morts de cancer en moins chaque année si la population avait un meilleur taux de vitamine D.
En incluant la France et les autres pays tempérés dans le calcul, on arriverait à des millions de vies sauvées chaque année.
En effet, de bons apports de vitamine D réduisent la mortalité à tous les niveaux ou presque.
Si vous passez de l’état de carence (moins de 10 ng de vitamine D par mL de sang) à l’état optimal (entre 50 et 75 ng/mL), vous obtenez les effets suivants :
- votre risque d’infarctus baisse de 50 %
- votre risque de sclérose en plaques baisse de 80 %
- votre risque de grippe baisse de 83 %
- votre risque de fracture et d’ostéoporose baisse de 50 %
- votre risque de diabète de type 1 baisse de 71 %
- votre risque de cancer du sein baisse de 83 %
- votre risque de cancer du côlon baisse de 80 %
- votre risque de leucémie baisse de 50 %
- votre risque de cancer du pancréas, de la vessie et du rein baisse de 65 à 75 %
- votre risque d’asthme baisse de 63 % [2].
Tout ça avec une simple vitamine, qui ne coûte que quelques centimes par jour !
80 % des Français en insuffisance de vitamine D
Et pourtant, malgré ces bienfaits incomparables pour la santé, l’Institut de veille sanitaire estime que 80 % des Français ont une insuffisance en vitamine D (étude d’avril 2012) [3].
La vitamine D est rare dans l’alimentation. Notre principal apport vient en principe de notre peau, qui la fabrique sous l’effet des rayons solaires UVB.
Mais encore faut-il s’exposer largement au soleil tous les jours !
Aujourd’hui, malheureusement, la plupart des Occidentaux passent l’essentiel de leur temps chez eux, au bureau, en voiture, dans des magasins, ou encore dans des institutions (écoles, hôpitaux, maisons de retraite).
Et de toute façon, au nord de la latitude de Rome, en Italie, les rayons du soleil sont trop faibles en automne et en hiver pour que la peau produise de la vitamine D.
Il en résulte un déficit massif, qui ne peut être compensé que par la prise quotidienne d’un complément de vitamine D, sous forme d’huile ou de comprimés.
La meilleure forme de vitamine D
Il faut faire attention cependant à la forme de vitamine D :
Choisir la vitamine D3, qui passe deux fois mieux dans le sang que la vitamine D2.
C’est donc la forme à privilégier absolument [4]. La vitamine D2 est beaucoup moins efficace que la D3 chez l’être humain [5].
Concernant la dose, les spécialistes recommandent généralement de 2000 UI (unités internationales) par jour à 6000 UI pour un adulte, et de 500 UI à 2000 UI par jour pour un enfant (en fonction de son âge).
Dans tous les cas, aucun risque d’intoxication n’est à craindre à ce niveau. Il n’a jamais été observé de cas de toxicité avec des doses inférieures à 40 000 Ul par jour, et ce pendant plusieurs années.
Mais si la vitamine D prévient des maladies de tous ordres, il est capital de ne pas s’arrêter là et de la compléter avec de la vitamine K2, dont vous allez voir que les bienfaits sont tout aussi impressionnants. La combinaison des deux permet d’aller encore plus loin en créant une synergie contre les maladies les plus graves.
Cette vitamine fixe le calcium dans vos os, pas dans vos artères
La vitamine K2 est une vitamine tout à fait extraordinaire, qui vous protège contre deux des principales causes d’hospitalisation et de décès en France :
- le risque de maladie cardiaque (hypertension, infarctus, AVC),
- le risque de fracture.
En effet, la vitamine K2 agit comme un guide-accompagnateur du calcium dans votre corps.
L'idée que le calcium que vous absorbez va se fixer dans vos os est un des mythes les plus tenaces et les plus dangereux dans le domaine de la santé.
En réalité, le calcium alimentaire n'a aucune raison de vouloir pénétrer dans vos os !
Ce qu'il fait, bien souvent, est beaucoup plus simple : il entre dans votre sang, puis se dépose dans vos artères. Là, il se lie au cholestérol, aux plaquettes sanguines, au fer et à d'autres composants pour former une plaque de plus en plus rigide. Vos artères durcissent, votre risque cardiaque augmente !
Lorsque cette plaque est bien étendue, vos artères sont (presque) aussi rigides que du calcaire. Vous ressemblez, à la radio, à un récif de corail ambulant !!
Votre cardiologue vous annoncera que vous souffrez d'artériosclérose et que vous pouvez mourir d'un infarctus ou d'un AVC à chaque instant (ce sera vrai).
Il vous astreindra à un régime alimentaire déprimant à base de légumes bouillis et de céréales complètes sans matière grasse, à avaler des pilules de statines donnant douleurs musculaires et pertes de mémoire, à faire du sport, ce qui est extrêmement pénible quand on a les artères bouchées, sans pour autant la moindre garantie que cela vous évitera les problèmes.
Au contraire, ce régime aboutira en général, tôt ou tard, à un pontage coronarien, la pose d'un stent, puis au décès.
Et le pire c'est que, pendant ce temps-là, vos os, eux, auront perdu de plus en plus de calcium, ce qui les aura fragilisés puis rendu cassants (ostéoporose). Au moindre choc, ils risqueront de se casser, comme du verre, au niveau de votre poignet, de votre hanche ou de votre col du fémur.
Il est donc essentiel d'agir le plus tôt possible pour que votre calcium alimentaire soit redirigé au bon endroit. Qu'il aille dans vos os, et pas dans vos artères.
Et c’est exactement ce que fait la vitamine K2, épaulée par la vitamine D.
Sans vitamine K2, lait et calcium augmentent le risque cardiovasculaire et le risque de fracture
Si vous vous contentez de boire du lait (pour le calcium) ou, pire encore, de prendre un complément alimentaire de calcium, vous augmentez votre risque cardiovasculaire tout en augmentant votre risque de fracture !
C’est documenté scientifiquement.
Selon deux études récentes parues dans le British Medical Journal :
- les produits laitiers augmentent le risque de fracture (octobre 2014, plus de 15 000 femmes suivies) [6],
- les personnes prenant un complément alimentaire de calcium ont un risque plus élevé d'accident cardiaque (2010, 20 000 personnes suivies) [7].
De façon stupéfiante, ce fait est très peu connu. Il s’agit pourtant d’une des raisons majeures qui expliquent que tant de personnes âgées en Europe souffrent à la fois d’un manque de calcium dans les os, conduisant à des fractures de la hanche, du poignet, du col du fémur, et d’un excès de calcium dans les artères, contribuant à faire des accidents cardiaques (AVC et infarctus principalement) la première cause de mortalité en France.
Plusieurs études ont d'ailleurs montré que les femmes souffrant d’ostéoporose après la ménopause ont aussi de plus grands risques de souffrir d’athérosclérose [8]. Ce n'est pas un hasard.
Il en va tout autrement au Japon, où les personnes âgées ont traditionnellement les os plus solides et beaucoup moins de maladies cardiaques.
On en connaît aujourd’hui la raison.
Le secret de santé des Japonais
Au début des années 2000, un scientifique japonais a réussi à expliquer un « miracle » qui étonnait les médecins depuis des décennies : la solidité des os de la population japonaise à un âge avancé, et leur faible taux de maladies cardiaques.
Ce phénomène tient au fait que les Japonais consomment du natto, une sorte de soja fermenté avec une bactérie très spéciale, le Bacillus Subtili Natto [9].
Or le natto est le seul produit au monde à contenir de la vitamine K2 sous la forme MK7 (vitamine K2-MK7), qui est la forme la plus biodisponible de la vitamine K2. Contrairement aux autres formes de vitamine K qui ne sont actives que pendant quelques heures, la vitamine K2-MK7 est efficace pendant des jours et des jours.
La vitamine K2-MK7 est capable de fixer le calcium dans les endroits appropriés comme les os ou les dents, et d’évacuer simultanément son excédent dans les tissus mous, en d’autres termes le système veineux [10].
Risque de fracture divisé par 10, risque cardiaque réduit de 57 %
L’explication des effets de la vitamine K2 a été trouvée par Leon Schurgers, expert mondialement reconnu de la vitamine K : la vitamine K2 stimule l’ostéocalcine, une hormone qui fixe le calcium dans les os du corps humain [11].
Selon les plus récentes études :
- 45 µg par jour de vitamine K2 réduisent de 57 % le risque de mourir de maladie cardiovasculaire [12], en évacuant le calcium accumulé dans les tissus mous ;
- la vitamine K2 divise par 10 le risque de fracture de la colonne vertébrale en renforçant l’effet de la vitamine D et du calcium sur les os [13].
Mais ce n’est pas tout.
La vitamine K2 réduirait le risque de cancer
Des recherches datant d’il y a moins d’un an indiquent que la vitamine K2 serait aussi un puissant agent anticancer, en régulant l’expression des gènes.
Tripler nos apports quotidiens diminue le risque de cancers, tous types confondus, de plus de 35 % en 5 ans [14].
L’étude EPIC (European Prospective Investigation into Cancer and Nutrition) publiée dans l'American Journal of Clinical Nutrition avait pour sa part indiqué en 2010 qu’une consommation élevée de vitamine K2 réduit le risque de cancer de 14 % et le risque de mortalité par cancer de 28 % [15].
La vitamine K2 réduit le risque d’arthrose, diabète, Alzheimer
D’autres études enfin ont montré que la vitamine K2 lutte contre l'inflammation chronique et les maladies qui y sont associées (arthrose, diabète, Alzheimer) [16].
Ce qui est vrai de la vitamine K2 l’est a fortiori de la vitamine K2-MK7, sa forme la plus active.
Comment bénéficier des bienfaits de la vitamine K2-MK7
Le meilleur moyen de bénéficier des bienfaits de la vitamine K2-MK7 est de la combiner avec de la vitamine D3.
Plusieurs études ont en effet montré que prendre de la vitamine D3 en même temps que la vitamine K2 permet de renforcer considérablement ses effets sur la solidité des os.
Dans une étude clinique contrôlée, 172 femmes atteintes d'ostéoporose ont reçu quotidiennement de façon aléatoire de la vitamine K2 (45 µg/j), de la vitamine D3, les deux ou un placebo pendant 24 mois.
L'association des vitamines K2 et D3 s'est montrée plus efficace que chacune d'elles seule [17].
Ces résultats ont été confirmés par une autre étude : 92 femmes ménopausées âgées de 55 à 81 ans ont été réparties de façon aléatoire en quatre groupes pour recevoir quotidiennement de la vitamine K2 (45 µg), de la vitamine D (0,75 µg), une combinaison des deux ou du lactate de calcium (2 g).
La densité minérale osseuse des deux groupes vitamine K2 et vitamine D a augmenté par rapport à celle du groupe sous calcium au bout de deux ans, tandis que le traitement combiné agissait en synergie et générait une élévation significative de la densité minérale osseuse [18].
C’est pourquoi plusieurs laboratoires de produits de complémentation nutritionnelle avancée proposent aujourd’hui, non plus la traditionnelle vitamine D, mais un complexe vitamine D3/vitamine K2-MK7.
Plusieurs produits possibles
- Le laboratoire Cell’innov propose une formulation de vitamine D3 et vitamine K2-MK7.
La vitamine D3 est extraite du lichen boréal, la vitamine K2-MK7 est extraite du natto. C’est donc une formule uniquement végétale.
Chaque dose vous apporte simultanément 2000 UI de vitamine D3 et 45 µg de vitamine K2, ce qui permet aisément d’atteindre les doses recommandées par les études scientifiques.
C’est le meilleur rapport qualité-prix de la sélection. Le flacon dure 3 mois et coûte 39,90 euros, soit 44 centimes par jour. Vous pouvez obtenir d’importantes réductions supplémentaires grâce à l’offre « Bonnes Résolutions » voir infos sur le site.
- Le laboratoire Super Smart propose une formulation D3 et K2-MK7 sous forme de capsules (softgels).
Ce produit est deux fois plus dosé en vitamine K2-MK7 que le produit Cell’innov : 90 µg contre 45 µg. Par contre, il contient cinq fois moins de vitamine D3 (400 UI au lieu de 2000 UI). Le prix est plus élevé : 39 euros pour deux mois, autrement dit 65 centimes par jour. Voir ici.
Si vous souhaitez uniquement de la vitamine K2-MK7 (sans vitamine D3), vous pouvez vous adresser aux Laboratoires D-Plantes. Cette vitamine K2-MK7 est toutefois issue du pois chiche, une origine moins connue et documentée que le natto. Les Laboratoires D-Plantes proposent par ailleurs de la vitamine D3 naturelle. Acheter l’une et l’autre séparément sera néanmoins plus cher : 54 euros pour 3 mois, soit 60 centimes par jour.
Recommandations particulières
Ne prenez pas de vitamine K2-MK7 (ni de vitamine K en général) sans en parler à votre médecin si vous êtes sous traitement anticoagulant. Vitamine « K » veut dire en effet « Koagulation » : elle contrôle la coagulation du sang.
Je vous recommande enfin de prendre votre complément de préférence au cours d'un repas comportant des graisses alimentaires, cela afin d’assurer l'assimilation des principes actifs du produit par votre organisme.
Vitamines D et K appartiennent en effet aux vitamines « liposolubles », c’est-à-dire solubles dans les graisses.
C’est ainsi que vous bénéficierez au mieux de leurs effets bénéfiques contre les maladies cardiaques, les fractures, plusieurs cancers, les infections, les maladies auto-immunes (allergies, sclérose en plaques), les maladies inflammatoires (arthrose, Alzheimer), etc.
À votre santé !
Jean-Marc Dupuis
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Par oumaazedine le 8 Janvier 2015 à 08:18
Les dangers du pamplemousse
Régulièrement, les médias mettent en garde les populations contre les interactions du pamplemousse avec certains médicaments.
De nombreux lecteurs m’écrivent pour me demander si vraiment, un fruit aussi sain que le pamplemousse peut être dangereux pour la santé.
Ma réponse est un grand OUI !
Les risques du pamplemousse sont majeurs, avec de nombreux médicaments. Les effets indésirables de ces médicaments peuvent être multipliés par 20 par un simple verre de jus de pamplemousse, avec des conséquences potentiellement fatales.
Voici pourquoi, et voici comment vous protéger :
Le pamplemousse bloque la métabolisation de certains médicaments
Lorsque vous avalez un médicament, celui-ci passe dans votre sang puis il est utilisé par votre organisme : des enzymes vont « digérer » le médicament pour le transformer en substances utilisables par vos cellules, qui vont l’absorber, le « consommer », puis rejeter des déchets par les urines.
Le problème est que le pamplemousse contient des produits actifs appelés furanocoumarines, qui bloquent de façon irréversible un de nos enzymes, le CYP3A4.
Or, cet enzyme CYP3A4 est précisément celui qui sert à assimiler de nombreux médicaments contre le cancer, l’hypertension, les problèmes cardiovasculaires, les problèmes urinaires, ainsi que des médicaments immunodépresseurs (qui affaiblissent le système immunitaire) et des anti-infectieux, des analgésiques (antidouleur) et des tranquillisants (la liste de ces médicaments est à la fin du message).
Voici donc ce qui arrive aux personnes qui prennent du pamplemousse en même temps que ces médicaments :
Leurs médicaments passent dans leur sang et ne sont pas « consommés » comme ils devraient l’être, (en langage médical, on dit « métabolisés »), parce que l’enzyme est bloqué. La concentration sanguine en médicament s’élève, jusqu’à atteindre l’overdose, avec des effets graves incluant « mort subite, blocage rénal aigu, arrêt de la respiration, saignements gastro-intestinaux, destruction de la moelle osseuse chez les personnes ayant un système immunitaire affaibli. » (1)
« Prendre un comprimé avec un verre de jus de pamplemousse est comme prendre 20 comprimés avec un verre d’eau », explique David Bailey, le pharmacologue canadien qui a découvert ce phénomène il y a 20 ans, et qui s’est spécialisé dans l’étude des interactions entre médicaments et pamplemousse. « Il s’agit d’overdose accidentelle. » (2) Des études avaient en effet déjà indiqué que boire un verre de 200 mL de pamplemousse par jour, trois jours de suite, provoque une hausse de 330 % de la concentration sanguine de simvastatine, un médicament très couramment prescrit contre le cholestérol, par rapport à un verre d’eau.
85 médicaments concernés
Malheureusement, il existe de plus en plus de médicaments qui sont métabolisés par l’enzyme CYP3A4 – et dont la métabolisation est donc bloquée par la consommation de pamplemousse.
La liste est passée de 17 médicaments en 2008 à 43 en quelques années !
Le risque d’accident s’est donc considérablement élevé, et justifie aujourd’hui que chacun veille à ce que les médicaments qu’il prend ne soient pas incompatibles avec le pamplemousse.
Ceci est d’autant plus important que l’effet se produit même avec des petites doses, que le pamplemousse soit consommé tel quel ou sous forme de jus.
Les personnes de plus de 45 ans compensent moins bien les concentrations excessives de médicaments dans le sang, et sont donc particulièrement vulnérables, surtout que ce sont elles qui consomment en général le plus de pamplemousses.
Comment vous prémunir
Si vous ne prenez aucun médicament, pas de problème, vous pouvez continuer à vous régaler de ce fruit délicieux.
Si vous prenez des médicaments, vous n’êtes pas forcément obligé d’arrêter le pamplemousse.
Vous devez savoir que le risque ne concerne que :
- les médicaments pris oralement (par la bouche) ;
- qui ne sont que faiblement ou moyennement absorbés par l’organisme ;
- et qui sont métabolisés par l’enzyme CYP3A4, ou cytochrome P450 3A4, ce que vous pouvez vérifier sur la notice.
Lorsque c’est nécessaire, la notice des médicaments concernés comprend toujours l’avertissement de ne PAS consommer de pamplemousse simultanément, donc c’est une raison de plus de toujours lire les notices.
Vous trouverez ci-dessous la liste des médicaments principaux concernés : je vous donne les noms des molécules (génériques), et pour certains le nom commercial.
Bien à vous,
Jean-Marc Dupuis
Liste des médicaments contre-indiqués avec le pamplemousse (attention, cette liste n’est pas forcément exhaustive : vérifiez toujours la notice de vos médicaments, et demandez conseil à votre médecin ou votre pharmacien.
1. Certaines statines (médicaments pour faire baisser le cholestérol)
- Nom de la molécule : Simvastatine. Nom commercial : Zocor et génériques
- Nom de la molécule : Atorvastatine. Nom commercial : Tahor et génériques
- Nom de la molécule : Lovastatine
2. Certains médicaments contre l’hypertension
- Nom de la molécule : Félodipine. Nom commerciaux : Logimax, Flodine et génériques
- Nom de la molécule : Nicardipine. Nom commercial : Loden
3. Certains médicaments immunodépresseurs (contre le rejet de greffe d’organe)
- Nom de la molécule : Ciclosporine. Nom commercial : Néoral
- Nom de la molécule : tacrolimus. Nom commercial : Tacrolimus
- Nom de la molécule : Sirolimus. Nom commercial : Rapamune
- Nom de la molécule : Everolimus. Nom commercial : Afinitor
4. Certains médicaments contre le cancer
- Nom de la molécule : Crizotinib
- Nom de la molécule : Dasatinib
- Nom de la molécule : Erlotinib
- Nom de la molécule : Everolimus
- Nom de la molécule : Lapatinib
- Nom de la molécule : Nilotinib
- Nom de la molécule : Pazopanib
- Nom de la molécule : Sunitinib
- Nom de la molécule : Vandetanib
- Nom de la molécule : Venurafenib
5. Certains médicaments contre les infections
- Nom de la molécule : Erythromycine
- Nom de la molécule : Halofantrine
- Nom de la molécule : Maraviroc
- Nom de la molécule : Primaquine
- Nom de la molécule : Quinine
- Nom de la molécule : Rilpivirine
6. Certains médicaments contre les problèmes cardiovasculaires
- Nom de la molécule : Amiodarone
- Nom de la molécule : Apixaban
- Nom de la molécule : Clopidogrel
- Nom de la molécule : Dronedarone
- Nom de la molécule : Eplerenone
- Nom de la molécule : Felodipine
- Nom de la molécule : Nifedipine
- Nom de la molécule : Quinidine
- Nom de la molécule : Rivaroxaban
- Nom de la molécule : Ticagrelor
7. Certains médicaments contre les problèmes nerveux et psychiques
- Nom de la molécule : Alfentanil (oral)
- Nom de la molécule : Buspirone
- Nom de la molécule : Dextromethorphan
- Nom de la molécule : Fentanyl (oral)
- Nom de la molécule : Ketamine (oral)
- Nom de la molécule : Lurasidone
- Nom de la molécule : Oxycodone
- Nom de la molécule : Pimozide
- Nom de la molécule : Quetiapine
- Nom de la molécule : Triazolam
- Nom de la molécule : Ziprasidone
8. Certains médicaments contre les problèmes gastrointestinaux
- Nom de la molécule : Domperidone
9. Certains médicaments contre les problèmes urinaires
- Nom de la molécule : Darifenacine
- Nom de la molécule : Fesoterodine
- Nom de la molécule : Solifenacine
- Nom de la molécule : Silodosine
- Nom de la molécule : Tamsulosine
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Sources :
(1) Étude menée par l’Université Western à London, en Ontario, publiée dans le Journal de l’Association médicale canadienne
(2) David Bailey, pharmacologue au Lawson Health Research Institute à London (Canada), cité par CBSnews Health, Grapefruit juice interaction with drugs can be deadly
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Les informations de cette lettre d'information sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de cette lettre, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être. L’éditeur n’est pas un fournisseur de soins médicaux homologués. L’éditeur de cette lettre d'information ne pratique à aucun titre la médecine lui-même, ni aucune autre profession thérapeutique, et s’interdit formellement d’entrer dans une relation de praticien de santé vis-à-vis de malades avec ses lecteurs.
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Par oumaazedine le 5 Janvier 2015 à 16:18
Cher lecteur,
Comment vous sentiriez-vous si on vous retirait un organe, et que vous appreniez ensuite que ce n'était pas nécessaire ? Vous auriez pu traiter le problème avec un remède naturel... mais personne ne vous l'avait dit.
C'est ce qui arrive chaque année à des milliers de personnes faussement diagnostiquées d'un cancer du sein ou de la prostate. De même, les maladies résistant aux antibiotiques font de plus en plus de victimes alors qu'elles peuvent souvent être guéries par des traitements alternatifs comme l'argent colloïdal ou certaines huiles essentielles.
C'est pour vous éviter ce type de tragédies que nous publions le mensuel Alternatif Bien-Être.
Main dans la main avec l'industrie pharmaceutique, la médecine officielle impose des protocoles de plus en plus lourds et dangereux. Par contre, elle n'hésite pas à vous cacher – vous interdire ! – des solutions naturelles, simplement parce qu'elles n'entrent pas dans ses schémas de pensée :
Des chercheurs viennent de découvrir que la kératine soluble reconstruit les cartilages. On sait depuis des siècles que la racine de bardane soigne l'acné. Les nouvelles recherches sur la vitamine D concluent qu'elle est efficace contre la sclérose en plaques.
Ces produits naturels sont sans danger. Mais aujourd'hui, ces mêmes maladies sont traitées avec :
- des anti-inflammatoires à haute dose, qui provoquent des saignements de l'estomac ;
- du Roaccutane, qui dessèche la peau, et tue les fœtus chez les femmes enceintes ;
- de la cortisone qui favorise les infections microbiennes.
On déplace les problèmes, sans les résoudre. On fait parfois pire. Et c'est pour revenir à une médecine naturelle, de bon sens, respectueuse du corps, que je vous propose de vous abonner à l'essai, pour un an, à Alternatif Bien-Être.
Alternatif Bien-Être n'est pas un « magazine de santé »
Nous ne sommes pas un magazine de santé. Vous ne trouverez dans nos pages aucune publicité ni photo retouchée. Notre but n'est pas de vous faire rêver mais de vous apporter des solutions concrètes, faciles à comprendre, rapides à mettre en œuvre, et naturelles pour :
- soigner les petits maux du quotidien : l'angélique officinale facilite la digestion et élimine les flatulences ; la citruline soulage les crampes ; les huiles essentielles de gaulthérie odorante et de menthe poivrée pulvérisent le mal de crâne... Nous vous aidons à redécouvrir les remèdes simples de tous les jours, qui sont souvent cachés dans les armoires de votre cuisine ;
- accompagner les maladies graves : ce qu'il faut manger pendant une chimio ; les micronutriments qui nettoient les artères ; sortir de la dépression sans médicament ; ralentir Parkinson avec le glutathion... Un dossier complet traite des solutions naturelles aux maladies lourdes dans chacun de nos numéros ;
- vous protéger des sectes et des charlatans : les inventeurs de génie existent ; les escrocs aussi. Nos experts vous disent la vérité sur les thérapeutes poursuivis par les autorités ;
- sélectionner pour vous les bons produits : Internet est une jungle. Nous vous indiquons les vendeurs fiables de compléments alimentaires, plantes et produits naturels ; vous économisez de l'argent et guérissez plus vite ;
- vous avertir des médicaments inutiles et dangereux avant les grands médias : sur les dangers des médicaments anti-cholestérol (statines), nos lecteurs ont eu 5 ans d'avance ; sur les adjuvants dans les vaccins : 12 ans ; sur la pilule : 8 ans ; sur l'aluminium dans les déodorants : 5 ans. Soyez informé avant qu'il ne soit trop tard ;
- découvrir les remèdes des cinq continents : vous avez 95 % de risque de mourir d'une maladie pour laquelle il existe déjà une solution, quelque part dans le monde. La médecine moderne est cloisonnée mais nos experts internationaux vous informent des solutions pratiquées dans toutes les cultures.
Car ne vous y trompez pas : il existe vraiment des espoirs de guérison pour toutes les maladies, à partir du moment où vous sortez des sentiers battus de la médecine officielle.
Plus de 250 percées majeures... ignorées de la plupart des médecins
Sur les dix dernières années, notre équipe a publié plus de 250 percées majeures capables de réduire la douleur et soigner des maladies pour des millions de personnes.
Elles peuvent venir d'Amazonie, d'Inde, de Chine, des Etats-Unis... ou d'une équipe de chercheurs tout près de chez vous.
Votre médecin lui-même n'en sera pas informé avant des années : la procédure d'agrément des nouvelles thérapies dure aujourd'hui quinze ans en moyenne.
Mais vous pouvez décider aujourd'hui de rejoindre les lecteurs d'Alternatif Bien-Être et vous aurez accès aux dernières découvertes naturelles pour soigner les maladies cardiaques, le cancer, le diabète, l'arthrose, les problèmes de prostate, d'incontinence, d'angoisse, de dépression, de perte de mémoire, de peau, de vue, de cheveux, de sommeil, vous pouvez continuer la liste !
Protégez-vous de la désinformation médicale
La grande majorité de nos lecteurs, toutefois, ne sont pas malades. Ils lisent Alternatif Bien-Être parce que :
- ils savent que la prévention est le meilleur des médicaments : 4 à 6 gouttes par jour de vitamine D3 réduiront votre risque de cancer, d'Alzheimer, de dépression et de mort prématurée ; plus d'oméga-3 et moins d'oméga-6 vous protégeront des maladies cardiaques ; surveiller la charge glycémique de vos aliments empêcheront l'obésité et le diabète. Ce n'est en général pas un hasard lorsqu'une personne arrive à cent ans en bonne santé et nous vous donnons les trucs qui font la différence ;
- ils se protègent contre la désinformation et les mensonges du lobby pharmaceutique : beaucoup de sites de santé et d'articles de journaux sont rédigés par les services de marketing de l'industrie du médicament. Il faut en avoir conscience, et contrebalancer avec des sources objectives ;
- ils veulent comprendre comment fonctionne leur corps : Alternatif Bien-Être existe pour les personnes qui veulent prendre leur santé en main. Nous luttons contre l'assistanat où la médecine veut parfois enfermer les malades, en donnant des explications claires, toujours agréables à lire, et facilement compréhensibles par les non-professionnels ;
- ils aident leurs enfants, et les personnes qui les entourent, à faire bon usage de la médecine : pour les urgences, la médecine moderne est plus efficace. Pour les maladies chroniques (dépression, diabète, arthrose, herpès...), les petits maux du quotidien, les médecines douces soulagent à long terme. Nous révélons comment ;
- ils découvrent des façons naturelles de ralentir et même inverser le vieillissement : la tisane de saule blanc peut faire chuter votre risque d'Alzheimer de 75 % ; grâce aux aliments qui favorisent la HGH (Human Growth Hormone), vous avez moins de graisse, plus de muscle et une peau plus ferme ; les isoflavones du soja réduisent les bouffées de chaleur à la ménopause ; avec chaque numéro, vous pouvez gagner des années de vie en bonne santé ;
- ils bénéficient des thérapies pratiquées aux 4 coins du monde : la moule aux orles vertes préserve les Maoris de l'arthrose ; le maté des indiens Guaranis libère de la fatigue, des maux de tête et des rhumatismes ; la gymnema sylvestris utilisée en médecine ayurvédique (Inde) supprime les envies de sucre naturellement pour le diabète ;
- ils apprennent à se servir des compléments alimentaires, des plantes, des huiles essentielles, du silicium organique, des probiotiques, de l'argent colloïdal, de la sève de bouleau, du vinaigre de cidre, de la propolis, du miel manuka et des milliers de produits qu'on trouve dans la nature et qui ont chacun leurs indications précises.
Thérapies Quantiques, médecine cellulaire, médecines orientales : avec Alternatif Bien-Être, vous saurez désormais précisément quoi attendre de chacune de ces disciplines. Face à tout problème, vous serez dirigé vers une solution ciblée. Votre famille, vos amis sauront qu'ils peuvent compter sur vous pour les éclairer dans cet univers si riche.
Profitez de tout l'éventail des médecines
Car à côté des nouvelles médecines, nous donnons la parole à des herboristes et des guérisseurs des traditions les plus diverses et les plus anciennes : usage des « simples », médecine ayurvédique, acupuncture, médecine médiévale d'Hildegarde de Bingen, art traditionnel des rebouteux et même chamans et tireurs de feu.
Quoi qu'en pensent les absolutistes de la m&eacu te;decine moderne, nos ancêtres ont été soignés pendant des siècles par des personnes qui avaient une habileté à remettre en place les « nerfs froissés » et les « tendons qui sautent », à « dénouer les muscles », soigner les foulures, les articulations démises et même les fractures. Cataplasmes, infusions et décoctions étaient couramment utilisés avec des effets.
Avoir voulu faire table rase de ces savoirs ancestraux a entraîné un gâchis colossal, de même qu'il est scandaleux d'étouffer les nouvelles réussites de la nutrithérapie, en phytothérapie et en décodage biologique. C'est condamner des milliers de patients à souffrir alors qu'une solution naturelle est peut-être à portée de la main.
Et c'est pour lutter contre cette nouvelle forme d'obscurantisme médical qu'Alternatif Bien-Être existe. Rien que dans notre dernier numéro, nos lecteurs ont pu découvrir des solutions aussi diverses que :
- les plantes, remèdes homéopathiques et compléments alimentaires qui soulagent à coup sûr les jambes lourdes ;
- les liens entre vaccin contre la grippe et risque augmenté de narcolepsie (une maladie grave et incurable) ;
- la glutamine, pour améliorer votre énergie lors des activités physiques ;
- le nouvel espoir pour les chauves, tenant compte des dernières découvertes sur les cellules souches ;
- l'insuffisance respiratoire et ses conséquences souvent occultées sur le fonctionnement du cerveau : deux spécialistes révèlent les vertus de certaines graisses (phospholipides) et d'oméga-3 particuliers qui permettent de conserver, ou de récupérer ses facultés mentales ;
- le régime alimentaire qui préserve les os (contre la maladie des « os en verre » ou ostéoporose) et le cartilage (anti-arthrose) ;
- l'eschscholzia pour en finir avec les insomnies ;
- le desmodium pour protéger et soigner le foie ;
- et de nombreux autres sujets importants : l'extrait de safran contre la dépression, un nouvel antioxydant, la quercétine, contre les maladies cardiaques, le bacopa monieri pour la mémoire et le mental...
Dans ce numéro, nous mettions également en garde nos lecteurs contre des produits courants qui présentent un danger pour la santé.
Remplacer les produits dangereux qui sont chez vous par des alternatives saines
Vous avez peut-être remarqué, que, pour remplacer l'aluminium dans les déodorants, les fabricants proposent des produits à la pierre d'alun. En réalité, la pierre d'alun, toute naturelle qu'elle soit, contient exactement les mêmes sels d'aluminium, et présente donc les mêmes dangers pour le cancer du sein !
Nous suivons pour vous les derniers résultats des études de toxicologie. Vous savez ainsi à quoi vous en tenir sur les additifs alimentaires (colorants, conservateurs...), les plastiques et les cosmétiques. Le bisphénol A et les parabens sont souvent remplacés par des produits moins médiatisés, mais plus dangereux pour le corps. Nous vous indiquons les alternatives saines.
Je vous envoie d'ailleurs immédiatement notre nouveau numéro d'Alternatif Bien-Être, avec nos compliments, si vous décidez de faire aujourd'hui un essai à notre journal.
En prime : le Grand Dossier Anti-Cancer
Je vous envoie aussi notre Grand Dossier Anti-Cancer. Vous y découvrirez la fabuleuse histoire de l'île anticancer, l'alimentation qui protège du cancer, comment provoquer le suicide des cellules cancéreuses, comment purifier et détoxifier votre organisme, les compléments alimentaires pour accompagner une chimio, les analyses sanguines qui vous indiquent si vous risquez de développer un cancer, et comment corriger vos éventuels déséquilibres, la vérité sur les phyto-œstrogènes, ainsi que tout ce qu'il faut savoir et faire si on vous découvre un cancer du sein ou de la prostate.
Vous découvrirez comment le stress, s'il ne « fabrique » pas le cancer contribue fortement à son développement. Depuis l'épice anti-cancer dans votre armoire et jusqu'à la gestions des équilibres hormonaux, vous bénéficierez des petits gestes du quotidien comme des dernières avancées de la science. J'espère que toutes ces informations, recueillies patiemment auprès de grands experts, vous seront précieuses pour prévenir le cancer comme pour vivre avec et le guérir. Car aujourd'hui, un cancer n'est plus synonyme de fin de vie.
Vous pouvez vous inscrire maintenant et télécharger immédiatement ce dossier, ainsi que le numéro en cours d'Alternatif Bien-Être, qui vous sont tous deux offerts en plus d'une année complète d'abonnement (douze numéros).
Vous ne prenez aucun risque
Cela ne vous engage à rien. Vous ne prenez aucun risque. Prenez le temps de tout lire, de tout consulter, d'essayer nos solutions. Pendant trois mois, si vous n'êtes pas plus que satisfait de votre choix, vous pourrez résilier votre abonnement et être intégralement remboursé.
Si vous vous abonnez depuis la France métropolitaine, vous bénéficiez aussi d'une double garantie supplémentaire grâce à la nouvelle norme européenne de paiement SEPA :
- Le montant de votre abonnement ne sera prélevé qu'à la fin de votre période d'essai, soit dans 3 mois. Si pour quelque raison que ce soit, vous décidez d'annuler votre abonnement,vous ne serez pas prélevé du tout, et vous pourrez garder, gratuitement, tous les numéros que vous aurez reçus ainsi que vos cadeaux de bienvenue.
- Votre paiement est encore sécurisé par votre banque. La nouvelle norme de paiement SEPA a été créée spécialement pour sécuriser les paiements sur Internet. Ainsi, vous avez aussi la possibilité d'être remboursé, sans frais, par votre banquejusqu'à 8 semaines après le paiement (en passant par nos services, il n'y a pas de limite pour annuler votre abonnement) ;
- Cette norme est déjà déployée par EDF, GDF, et les opérateurs téléphoniques. Enfin, envous abonnant aujourd'hui, vous bénéficiez d'une réduction exceptionnelle de 50 % par rapport au prix normal annuel, soit 19 euros au lieu de 38 euros pour la version électronique, en PDF.
Alternatif Bien-Être existe aussi en format papier
La version électronique est l'option la moins chère que nous puissions vous offrir mais, moyennant un supplément, vous pouvez aussi recevoir chaque mois Alternatif Bien-Être chez vous en format papier, imprimé, par la Poste.
Chaque numéro fait 28 pages. Cela peut donc être long et fatiguant à lire sur écran. L'imprimer peut coûter cher, à la longue, et il n'est pas toujours facile d'archiver des feuilles volantes.
Nous vous envoyons donc, si vous le souhaitez, vos numéros d'Alternatif Bien-Être en format papier, reliés, bien exécutés. Ce sera pour vous plus agréable à consulter et plus facile à conserver.
Toutefois, l'imprimer, le mettre dans une enveloppe adressée à votre nom, et payer le timbre pour la France nous coûte 1,25 euros par numéro, ce qui nous oblige à vous demander une participation supplémentaire de 15 euros par an (douze numéros). L'abonnement papier coûte donc 19 euros (offre spéciale en format électronique), plus 15 euros, soit en tout 34 euros par an.
Nous vous proposons aussi de recevoir Alternatif Bien-Être au format papier en Europe et dans le monde entier. Il faut alors compter un coût supplémentaire d'acheminement selon le pays dans lequel vous vous trouvez.
Dans tous les cas, vous bénéficiez bien sûr aussi de la garantie de remboursement intégrale pendant trois mois,
PLUS le nouveau numéro d'Alternatif Bien-Être (que vous recevrez sur votre messagerie immédiatement après vous être abonné)
PLUS le Grand Dossier Anti-Cancer (que vous recevrez aussi immédiatement sur votre messagerie).
Ceci est à tout point de vue la meilleure offre que nous puissions faire pour accueillir les nouveaux lecteurs d'Alternatif Bien-Être. Je vous remercie et espère pouvoir vous souhaiter, dans quelques minutes, la bienvenue parmi les lecteurs d'Alternatif Bien-Être. Je vous encourage à en profiter aujourd'hui (lien cliquable).
A très vite,
Jean-Marc Dupuis
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Pour être sûr de bien recevoir la lettre Santé Nature Innovation sans qu'elle se perde dans votre boîte de messagerie électronique, visitez la page suivante.
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Les informations de cette lettre d'information sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de cette lettre, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être. L’éditeur n’est pas un fournisseur de soins médicaux homologués. L’éditeur de cette lettre d'information ne pratique à aucun titre la médecine lui-même, ni aucune autre profession thérapeutique, et s’interdit formellement d’entrer dans une relation de praticien de santé vis-à-vis de malades avec ses lecteurs.
Santé Nature Innovation n’est pas responsable de l’exactitude, de la fiabilité, de l’efficacité, ni de l’utilisation correcte des informations que vous recevez par le biais de nos produits, ou pour des problèmes de santé qui peuvent résulter de programmes de formation, de produits ou événements dont vous pouvez avoir connaissance à travers ce site. L’éditeur n’est pas responsable des erreurs ou omissions. Aucune des informations ou de produits mentionnés sur ce site ne sont destinés à diagnostiquer, traiter, atténuer ou guérir une maladie.
Santé Nature Innovation est un service d'information gratuit de NPSN Santé SARL, rue Faucigny 5, 1700 Fribourg. Pour toute question, merci d'adresser un message à contact@santenatureinnovation.comCher lecteur,
Comment vous sentiriez-vous si on vous retirait un organe, et que vous appreniez ensuite que ce n'était pas nécessaire ? Vous auriez pu traiter le problème avec un remède naturel... mais personne ne vous l'avait dit.
C'est ce qui arrive chaque année à des milliers de personnes faussement diagnostiquées d'un cancer du sein ou de la prostate. De même, les maladies résistant aux antibiotiques font de plus en plus de victimes alors qu'elles peuvent souvent être guéries par des traitements alternatifs comme l'argent colloïdal ou certaines huiles essentielles.
C'est pour vous éviter ce type de tragédies que nous publions le mensuel Alternatif Bien-Être.
Main dans la main avec l'industrie pharmaceutique, la médecine officielle impose des protocoles de plus en plus lourds et dangereux. Par contre, elle n'hésite pas à vous cacher – vous interdire ! – des solutions naturelles, simplement parce qu'elles n'entrent pas dans ses schémas de pensée :
Des chercheurs viennent de découvrir que la kératine soluble reconstruit les cartilages. On sait depuis des siècles que la racine de bardane soigne l'acné. Les nouvelles recherches sur la vitamine D concluent qu'elle est efficace contre la sclérose en plaques.
Ces produits naturels sont sans danger. Mais aujourd'hui, ces mêmes maladies sont traitées avec :
- des anti-inflammatoires à haute dose, qui provoquent des saignements de l'estomac ;
- du Roaccutane, qui dessèche la peau, et tue les fœtus chez les femmes enceintes ;
- de la cortisone qui favorise les infections microbiennes.
On déplace les problèmes, sans les résoudre. On fait parfois pire. Et c'est pour revenir à une médecine naturelle, de bon sens, respectueuse du corps, que je vous propose de vous abonner à l'essai, pour un an, à Alternatif Bien-Être.
Alternatif Bien-Être n'est pas un « magazine de santé »
Nous ne sommes pas un magazine de santé. Vous ne trouverez dans nos pages aucune publicité ni photo retouchée. Notre but n'est pas de vous faire rêver mais de vous apporter des solutions concrètes, faciles à comprendre, rapides à mettre en œuvre, et naturelles pour :
- soigner les petits maux du quotidien : l'angélique officinale facilite la digestion et élimine les flatulences ; la citruline soulage les crampes ; les huiles essentielles de gaulthérie odorante et de menthe poivrée pulvérisent le mal de crâne... Nous vous aidons à redécouvrir les remèdes simples de tous les jours, qui sont souvent cachés dans les armoires de votre cuisine ;
- accompagner les maladies graves : ce qu'il faut manger pendant une chimio ; les micronutriments qui nettoient les artères ; sortir de la dépression sans médicament ; ralentir Parkinson avec le glutathion... Un dossier complet traite des solutions naturelles aux maladies lourdes dans chacun de nos numéros ;
- vous protéger des sectes et des charlatans : les inventeurs de génie existent ; les escrocs aussi. Nos experts vous disent la vérité sur les thérapeutes poursuivis par les autorités ;
- sélectionner pour vous les bons produits : Internet est une jungle. Nous vous indiquons les vendeurs fiables de compléments alimentaires, plantes et produits naturels ; vous économisez de l'argent et guérissez plus vite ;
- vous avertir des médicaments inutiles et dangereux avant les grands médias : sur les dangers des médicaments anti-cholestérol (statines), nos lecteurs ont eu 5 ans d'avance ; sur les adjuvants dans les vaccins : 12 ans ; sur la pilule : 8 ans ; sur l'aluminium dans les déodorants : 5 ans. Soyez informé avant qu'il ne soit trop tard ;
- découvrir les remèdes des cinq continents : vous avez 95 % de risque de mourir d'une maladie pour laquelle il existe déjà une solution, quelque part dans le monde. La médecine moderne est cloisonnée mais nos experts internationaux vous informent des solutions pratiquées dans toutes les cultures.
Car ne vous y trompez pas : il existe vraiment des espoirs de guérison pour toutes les maladies, à partir du moment où vous sortez des sentiers battus de la médecine officielle.
Plus de 250 percées majeures... ignorées de la plupart des médecins
Sur les dix dernières années, notre équipe a publié plus de 250 percées majeures capables de réduire la douleur et soigner des maladies pour des millions de personnes.
Elles peuvent venir d'Amazonie, d'Inde, de Chine, des Etats-Unis... ou d'une équipe de chercheurs tout près de chez vous.
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Mais vous pouvez décider aujourd'hui de rejoindre les lecteurs d'Alternatif Bien-Être et vous aurez accès aux dernières découvertes naturelles pour soigner les maladies cardiaques, le cancer, le diabète, l'arthrose, les problèmes de prostate, d'incontinence, d'angoisse, de dépression, de perte de mémoire, de peau, de vue, de cheveux, de sommeil, vous pouvez continuer la liste !
Protégez-vous de la désinformation médicale
La grande majorité de nos lecteurs, toutefois, ne sont pas malades. Ils lisent Alternatif Bien-Être parce que :
- ils savent que la prévention est le meilleur des médicaments : 4 à 6 gouttes par jour de vitamine D3 réduiront votre risque de cancer, d'Alzheimer, de dépression et de mort prématurée ; plus d'oméga-3 et moins d'oméga-6 vous protégeront des maladies cardiaques ; surveiller la charge glycémique de vos aliments empêcheront l'obésité et le diabète. Ce n'est en général pas un hasard lorsqu'une personne arrive à cent ans en bonne santé et nous vous donnons les trucs qui font la différence ;
- ils se protègent contre la désinformation et les mensonges du lobby pharmaceutique : beaucoup de sites de santé et d'articles de journaux sont rédigés par les services de marketing de l'industrie du médicament. Il faut en avoir conscience, et contrebalancer avec des sources objectives ;
- ils veulent comprendre comment fonctionne leur corps : Alternatif Bien-Être existe pour les personnes qui veulent prendre leur santé en main. Nous luttons contre l'assistanat où la médecine veut parfois enfermer les malades, en donnant des explications claires, toujours agréables à lire, et facilement compréhensibles par les non-professionnels ;
- ils aident leurs enfants, et les personnes qui les entourent, à faire bon usage de la médecine : pour les urgences, la médecine moderne est plus efficace. Pour les maladies chroniques (dépression, diabète, arthrose, herpès...), les petits maux du quotidien, les médecines douces soulagent à long terme. Nous révélons comment ;
- ils découvrent des façons naturelles de ralentir et même inverser le vieillissement : la tisane de saule blanc peut faire chuter votre risque d'Alzheimer de 75 % ; grâce aux aliments qui favorisent la HGH (Human Growth Hormone), vous avez moins de graisse, plus de muscle et une peau plus ferme ; les isoflavones du soja réduisent les bouffées de chaleur à la ménopause ; avec chaque numéro, vous pouvez gagner des années de vie en bonne santé ;
- ils bénéficient des thérapies pratiquées aux 4 coins du monde : la moule aux orles vertes préserve les Maoris de l'arthrose ; le maté des indiens Guaranis libère de la fatigue, des maux de tête et des rhumatismes ; la gymnema sylvestris utilisée en médecine ayurvédique (Inde) supprime les envies de sucre naturellement pour le diabète ;
- ils apprennent à se servir des compléments alimentaires, des plantes, des huiles essentielles, du silicium organique, des probiotiques, de l'argent colloïdal, de la sève de bouleau, du vinaigre de cidre, de la propolis, du miel manuka et des milliers de produits qu'on trouve dans la nature et qui ont chacun leurs indications précises.
Thérapies Quantiques, médecine cellulaire, médecines orientales : avec Alternatif Bien-Être, vous saurez désormais précisément quoi attendre de chacune de ces disciplines. Face à tout problème, vous serez dirigé vers une solution ciblée. Votre famille, vos amis sauront qu'ils peuvent compter sur vous pour les éclairer dans cet univers si riche.
Profitez de tout l'éventail des médecines
Car à côté des nouvelles médecines, nous donnons la parole à des herboristes et des guérisseurs des traditions les plus diverses et les plus anciennes : usage des « simples », médecine ayurvédique, acupuncture, médecine médiévale d'Hildegarde de Bingen, art traditionnel des rebouteux et même chamans et tireurs de feu.
Quoi qu'en pensent les absolutistes de la m&eacu te;decine moderne, nos ancêtres ont été soignés pendant des siècles par des personnes qui avaient une habileté à remettre en place les « nerfs froissés » et les « tendons qui sautent », à « dénouer les muscles », soigner les foulures, les articulations démises et même les fractures. Cataplasmes, infusions et décoctions étaient couramment utilisés avec des effets.
Avoir voulu faire table rase de ces savoirs ancestraux a entraîné un gâchis colossal, de même qu'il est scandaleux d'étouffer les nouvelles réussites de la nutrithérapie, en phytothérapie et en décodage biologique. C'est condamner des milliers de patients à souffrir alors qu'une solution naturelle est peut-être à portée de la main.
Et c'est pour lutter contre cette nouvelle forme d'obscurantisme médical qu'Alternatif Bien-Être existe. Rien que dans notre dernier numéro, nos lecteurs ont pu découvrir des solutions aussi diverses que :
- les plantes, remèdes homéopathiques et compléments alimentaires qui soulagent à coup sûr les jambes lourdes ;
- les liens entre vaccin contre la grippe et risque augmenté de narcolepsie (une maladie grave et incurable) ;
- la glutamine, pour améliorer votre énergie lors des activités physiques ;
- le nouvel espoir pour les chauves, tenant compte des dernières découvertes sur les cellules souches ;
- l'insuffisance respiratoire et ses conséquences souvent occultées sur le fonctionnement du cerveau : deux spécialistes révèlent les vertus de certaines graisses (phospholipides) et d'oméga-3 particuliers qui permettent de conserver, ou de récupérer ses facultés mentales ;
- le régime alimentaire qui préserve les os (contre la maladie des « os en verre » ou ostéoporose) et le cartilage (anti-arthrose) ;
- l'eschscholzia pour en finir avec les insomnies ;
- le desmodium pour protéger et soigner le foie ;
- et de nombreux autres sujets importants : l'extrait de safran contre la dépression, un nouvel antioxydant, la quercétine, contre les maladies cardiaques, le bacopa monieri pour la mémoire et le mental...
Dans ce numéro, nous mettions également en garde nos lecteurs contre des produits courants qui présentent un danger pour la santé.
Remplacer les produits dangereux qui sont chez vous par des alternatives saines
Vous avez peut-être remarqué, que, pour remplacer l'aluminium dans les déodorants, les fabricants proposent des produits à la pierre d'alun. En réalité, la pierre d'alun, toute naturelle qu'elle soit, contient exactement les mêmes sels d'aluminium, et présente donc les mêmes dangers pour le cancer du sein !
Nous suivons pour vous les derniers résultats des études de toxicologie. Vous savez ainsi à quoi vous en tenir sur les additifs alimentaires (colorants, conservateurs...), les plastiques et les cosmétiques. Le bisphénol A et les parabens sont souvent remplacés par des produits moins médiatisés, mais plus dangereux pour le corps. Nous vous indiquons les alternatives saines.
Je vous envoie d'ailleurs immédiatement notre nouveau numéro d'Alternatif Bien-Être, avec nos compliments, si vous décidez de faire aujourd'hui un essai à notre journal.
En prime : le Grand Dossier Anti-Cancer
Je vous envoie aussi notre Grand Dossier Anti-Cancer. Vous y découvrirez la fabuleuse histoire de l'île anticancer, l'alimentation qui protège du cancer, comment provoquer le suicide des cellules cancéreuses, comment purifier et détoxifier votre organisme, les compléments alimentaires pour accompagner une chimio, les analyses sanguines qui vous indiquent si vous risquez de développer un cancer, et comment corriger vos éventuels déséquilibres, la vérité sur les phyto-œstrogènes, ainsi que tout ce qu'il faut savoir et faire si on vous découvre un cancer du sein ou de la prostate.
Vous découvrirez comment le stress, s'il ne « fabrique » pas le cancer contribue fortement à son développement. Depuis l'épice anti-cancer dans votre armoire et jusqu'à la gestions des équilibres hormonaux, vous bénéficierez des petits gestes du quotidien comme des dernières avancées de la science. J'espère que toutes ces informations, recueillies patiemment auprès de grands experts, vous seront précieuses pour prévenir le cancer comme pour vivre avec et le guérir. Car aujourd'hui, un cancer n'est plus synonyme de fin de vie.
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Vous ne prenez aucun risque
Cela ne vous engage à rien. Vous ne prenez aucun risque. Prenez le temps de tout lire, de tout consulter, d'essayer nos solutions. Pendant trois mois, si vous n'êtes pas plus que satisfait de votre choix, vous pourrez résilier votre abonnement et être intégralement remboursé.
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A très vite,
Jean-Marc Dupuis
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