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    l'obeissance aux gouverneur en islam

    Et il n’y a pas de doute sur le fait qu’à notre époque, trop ignorent le sujet, en même temps que l’idéologie de la rébellion elle, est trop répandue, d’où l’importance de connaître cette règle des gens de la Sunnah.
    Les gens de sciences doivent donc ainsi que ceux qui demandent la science respectés ce contrat avec Allah, et enseignés cette règle, cette base aux autres, avec sincérité.
    L’ignorant ne voit dans cette règle qu’un profit pour le gouverneur, quelle ignorance que cette pensée, non le profit est pour le gouverné aussi.
    Certains disent que le moment de parler de cela n’est pas venu, Pureté à Allah, c’est quand son temps donc ?
    Quand il y aura du sang qui coule et l’anarchie, etc.…
    C’est un sujet important qu’il faut traiter maintenant car les fausses croyances se répandent !
    De fausses croyances apposées à celle des gens de la Sunnah.
    Quand à ceux qui disent que l’obéissance aux détenteurs de l’autorité est soit sous l’effet de la peur ou de l’ignorance, qu’ils craignent Allah ces gens qui sortent de telles ambiguïtés pour le profit de leurs sectes, groupes.
    Celui qui désire la réussite doit méditer les textes, et ne pas mettre ses passions à la place de l’autorité, des textes.
    Il ne sera vraiment croyant que quand sa passion sera pour ce avec quoi est venu le
    Prophète.


    Car la plupart des discordes sur le sujet viennent des passions, et le fait de mettre en avant le cerveau sur les héritages Islamiques.

    Voilà ce que dit l’imam Al-Barbahari (Charh kitab Sunnah) :

    « Celui qui détient l’autorité, il est le prince des croyants, il n’appartient à personne de dormir une nuit, sans qu’il n’est un émir, bien ou mauvais soit-il, ainsi a parler Ibn Hanbal. »

    Ce hadith du Prophète rapporté par Mouslim met en évidence cela :

    « Celui qui s’écarte de la désobéissance (de l’autorité), rencontrera Allah sans preuve, et qui meurt sans acte d’allégeance, mourra d’une mort ignorante »


    Ce hadith du Prophète est de Mouslim aussi :

    « Il y aura après moi des imams, qui ne guiderons pas d’après ma guidé, ils n’établiront pas d’après ma Sunnah, il y aura parmi eux des hommes aux cœurs de démons dans un corps d’homme »
    Houdayfa demanda :
    « Que dois je faire si je rejoins cette époque ? »
    Le Prophète répondit : « Tu écoutes et obéis à l’émir, même s’il frappe ton dos, prend ton argent, écoutes et obéis. »


    Quand à celui qui a accédé au pouvoir par la force, il est alors l’émir à qui nous devons obéir et à qui nous devons donner allégeance, et il est interdit de contester cela et de lui désobéir.

    L’imam Ahmed Ibn Hanbal a dit : « Quand à celui qui prend le pouvoir par la force, qui devient ainsi détenteur de l’autorité, responsable des croyants, il est illicite, interdit pour qui croit en Allah et au jour dernier de passer une nuit sans qu’il le considère comme son Imam qu’il soit bon ou mauvais ». Al-Ahkam A-Sultaniya 23

    Ainsi Ibn Hadjar a écrit ceci  dans Fath Al-Bari: « Les savants sont unanimes sur le fait qu’il faut obéir à l’autorité qui a accédé au pouvoir par un putsch, et suivre cette autorité au Jehad, et l’obéissance à cette autorité est mieux que sa désobéissance.
    Car cela épargnera des vies, et un apaisement de la masse »


    Mohammed Ibn Abdû-Wahab a dit : “La communauté est unanime que celui qui prend le pouvoir par un putsch devient alors l’émir dans toutes les affaires. »


    Concernant les droits de l’autorité sur les gens.

    L’imam Badrou Dibn Djamaa’ a dit (tahrir al-ahkam fi tadbir ahli l-islam 61-71) :

    L’autorité a sur les gens 10 droits :

    1 : Le dévouement en ce qui concerne ton obéissance envers lui, d’une façon apparente et cachée, pour tout ce qu’il ordonne et interdit tant que ce n’est pas dans la désobéissance envers Allah.

    2 : Le dévouement en ce qui concerne le fait de le conseiller secrètement ou non.
    Le Prophète a dit : « La religion, c’est le conseil… »

    3 : Les secourir en apparence ou secrètement, avec dévouement car cela secoure les musulmans, et la religion d’Allah, ainsi est écrasé les gens de la malveillance.

    4 : Qu’il connaisse justement les droits qu’il a sur lui, l’importance de cela, qu’il applique cela avec respect.
    C’est pour cela que les grands savants honoraient ces devoirs très importants, ils répondaient présents à leurs appels, avec piété, crainte de Dieu, et cela sans convoitise ou ambition de ce qu’ils ont.
    Le contraire de cela n’étant pas la Sunnah !

    5 : Le faire rappeler lorsqu’il oubli, et lui indiquer lorsqu’il se trompe.
    Avec compassion pour lui, pour protéger sa religion et sa personne, car Allah lui a donné des erreurs.

    6 : Le mettre en garde contre un ennemi désirant contre lui un mal, ou un Kharijite menaçant.
    Et ce qui ressemble à cela sous des formes différentes, cela est un devoir.

    7 : L’informer de la conduite de ses « serviteurs », face à ses réclamations, demandes,

    8 : L’aider concernant les fardeaux de la communauté, selon les possibilités,

    9 : Eloigner les cœurs haineux envers lui de lui, et unir l’amour autour de lui.
    Pour ce qu’il y a pour profit pour la communauté dans cela.

    10 : Le défendre avec la parole, les actions, son argent, sa personne, sa famille en apparence et en secret.

    Si ces 10 conditions sont protégées, et qu’elles sont appliquées comme il se doit, alors les cœurs seront pures, sincères, et la parole sera secouru.



    Comment s’extériorise le rejet de ce qui vient du gouverneur ?

    Ordonner le bien et interdire le mal est une base des bases de la religion.
    Par cet acte le bien apparaît et se propage, de même le mal disparaît et ne se propage plus.
    Les pieux prédécesseurs avaient concernant les détenteurs de l’autorité un comportement de juste milieu, entre les Kharijites qui dès qu’ils voient chez leurs gouverneurs quelque chose de détestable appellent à la rébellion, et les Chiites qui ont donnés à leurs gouverneurs des attributs du sacré, jusqu’à les associer à l’infaillibilité.

    Ces deux groupes sont loin de la vérité, et ils sont en total désaccord avec la Sunnah authentique et le Coran, qu’Allah les guide.
    Les gens de la Sunnah rejettent ce qui est détestable, mais, avec des règles qui elles sont établies par les textes tirés du Coran et de la Sunnah authentique.

    Et donc, parmi ces règles, il y a le fait de conseiller le gouverneur en tête à tête, par rapport à ce qui émane de lui comme choses détestables.
    Et donc, jamais sur les trônes, devant les gens, vu ce que cela engendre comme maux et discordes.

    Ibn Baz a dit : « Il ne fait pas partit de la voie des pieux prédécesseurs, de répandre les défauts des détenteurs de l’autorité, ou de faire cela sur les trônes.
    Car cet acte mène à l’anarchie, et au refus des gens d’écouter et d’obéir au gouverneur dans le bien.
    Ainsi que cet acte mène aux discutions qui n’apportent aucun bien.
    Les pieux prédécesseurs, quand à eux, s’il devaient conseillés le détenteur de l’autorité, alors, c’était en privé, et non publiquement.
    Ils lui envoyaient par exemple une lettre, ou pouvaient contacter des savants ayants des contacts avec le pouvoir, afin d’orienter le gouvernement vers le bien.


    L’IMAM Chawkani a dit : « Il est demandé à celui qui constate des erreurs chez le gouverneur de le conseillé, il ne doit pas le faire publiquement, au grand jour, comme cela est rapporté dans la Sunnah.
    Je le prends par la main, je reste seul avec lui, je le conseille, et ne le dénonce pas.
    Il est interdit de sortir contre lui, tant qu’il prie, et qu’il n’est pas prouvé clairement qu’il est mécréant. »


    Dans le Bukhari, il est rapporté ceci : Quelqu’un est venu voir Oussama Ibn Zayd pour lui dire : pourquoi ne vas-tu pas voir Uthman lui parler ?
    Il répondit : « Croyez vous que je vais lui parler devant vous pour que vous entendiez ?
    Par Allah, je lui ai parlé, et en tête à tête pour ne pas être le premier à ouvrir une porte
    (La porte de parler sur le gouverneur publiquement).

    Comme le dit Al-Albany : Parler du gouverneur, contre eux, devant les gens, fais craindre les résultats de cela.
    Les savants sont d’accord sur cela, et cet acte (de parler publiquement) a mené au meurtre de Uthman.


    Patienter concernant les injustices du gouverneur

    Ibn Taymiyya a dit : « La patience concernant les injustices du gouverneur est une base des bases des gens de la Sunnah et du groupe. »
    Le Prophète a dit : « Celui qui voit concernant son émir quelque chose qu’il déteste alors qu’il patiente, et s’il se sépare du groupe d’un empan, et qu’il meurt, alors sa mort est une mort ignorante. » rapporté par Al-Bukhari.

    Al Hassan a dit lorsqu’il a vu quelqu’un prier contre Al-Houddajj : « Ne fais pas cela, qu’Allah te fasse miséricorde, vous venez de vous (Al-Hadjadj vient de vous et vous de lui, le même peuple). Si Al-Hadjadj venait à mourir ou à être remplacé, alors j’ai peur que vous, vous soyez remplacés par des singes et des porcs. »


    L’interdiction d’insulter les gouverneurs

    Les insulter, être occuper à cela, évoquer leurs erreurs est une grande erreur, et c’est une horrible injustice.
    Certes les textes interdisent cela, et cet acte est le noyau du fait de sortir contre les gouverneurs, qui est une base du désordre et de la discorde concernant la religion et la vie.

    Dans le Thirmidi on rapporte ceci : Abou Bilel faisait le prône du vendredi quand il a commencé à parler sur les gouverneurs par : « regardez les, ils s’habillent des habits de l’hypocrisie » alors Abou Bakra a dit « Tais toi, j’ai entendu dire le Prophète dire :
    « Celui qui humilie (insulte) un gouverneur d’Allah sur terre sera humilié par Allah »
    Al Albani a dit que ce hadith est Bon.

    Le Prophète a dit : « N’insultez pas vos gouverneurs, ne trichez pas contre eux, ne les détestez pas, craignez Allah et soyez patients, l’affaire est proche. »

    Al-Bayhaqui a rapporté que Abou Darda a dit : « Certes la première hypocrisie d’un homme, vient du fait qu’il spécule sur son émir. »


    Qui a commencé à spéculer sur les gouverneurs musulmans ?

    C’est Abdullah Ibn Saba’ qui a innové cela, menant au meurtre de Uthman.


    La punition de celui qui décourage vis-à-vis du gouverneur ou qui parle sur lui

    Ibn Farhoun a dit : « Celui qui parle sur un gouverneur des gouverneurs musulmans, mérite un dur châtiment, il faut l’emprisonner un mois.
    Quand à celui qui recommence alors il mérite un dur châtiment selon le jugement de l’imam »


    Sur le fait de prier pour le gouverneur

    Le fait que le pouvoir soit en bon état est demandé pour chaque musulman, cela engendre le bien chez les gens et dans le pays.
    Les savants se sont donc appuyés sur cette réalité pour établir cette règle qui est d’invoquer pour eux.
    Ce dépôt, cette consigne d’invoquer en leurs faveurs est évident, d’après ces sources :

    Le première : le comportement des pieux prédécesseurs vis-à-vis de cela.

    La seconde : Les écrits des savants spécialement sur ce sujet.

    La troisième : Certains savants ont établis cela comme un signe que la personne est Sunnite Salafie, et par opposition celui qui invoque contre eux alors, c’est un innovateur égaré.
    L’Imam Al-Barbahâri a dit : « Si tu vois un homme invoquer contre l’autorité, saches que c’est une personne de passion, et si tu vois un homme invoquer pour lui en bien, alors saches que c’est une personne de la Sunnah, si Allah le veut. »

    Al-Fadil Ibn A’yyad a dit : « Si j’avais une invocation exaucée, elle serait pour le gouverneur » Pourquoi cela Abou Ali lui demanda-t-on ? « Quand serait-elle pour moi alors que c’est insuffisant, et quand chez l’imam, alors que c’est général, si l’imam est bien, alors le bien se répandra chez les gens et dans tout le pays. »
    Alors Ibn Al-Mubarak embrassa son front et dit : « O enseignant du bien, qui fait mieux que toi ? » authentique.

    L’Imam Ahmed a dit : « Quand à moi j’invoque pour lui, jour et nuit pour qu’il soit droit, pour qu’il réussisse, et pour qu’il soit renforcé, et je vois cela (invoquer pour lui) pour moi obligatoire »




     
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  • La profondeur de l'Enfer

     
    Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.

    Le Messager d'Allah (paix et bénédictions sur lui) a dit:
    « Une pierre sera jetée dans la Géhenne et tombera durant soixante-dix ans et n'atteindra pas le fond de l'abîme ».
    (Rapporté par At-tirmidhi).

    D'après Abou Hourayra (qu'Allah l'agréé):
    « Nous étions en compagnie du Messager d'Allah (paix et bénédictions sur lui) quand il a entendu le bruit d'une chute.
    - Savez-vous d'où provient ce bruit? demanda-t-il.
    - Dieu et Son Messager sont les plus informés, fut notre réponse. Et le Prophète (paix et bénédictions sur lui) , d'ajouter:
    - C'est une pierre jetée il y a soixante-dix années, elle tombait dans le Feu et c'est maintenant qu'elle atteint son abîme.»
    (Rapporté par Mouslim).
     
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  • Le prédicateur sage est celui qui étudie l’état de la société, la situation des gens, leurs croyances, et accorde à chacun le rang qui est le sien. Il s’adresse à eux en fonction de leurs raisonnements, leur compréhension, leurs dispositions naturelles, leur comportement, leur niveau intellectuel et social, et des moyens qui permettent de parvenir à eux. C’est pour cette raison que ‘Alî ibn Abî Tâlib a dit : « Parlez aux gens de ce qu’ils comprennent, voulez-vous que l’on accuse de mensonge Allah et Son messager. » [Al-Bukhârî (127)] 

     

    On rapporte également que ‘Â’ishah a dit : « Le Messager d'Allah (salallahu ‘alayhi wasalam) nous a ordonné d’accorder aux gens le rang qui est le leur. » [Sharh Muslim (1/55)]

     

    ‘Abd Allah Ibn Mas’ûd a dit : « Si tu parles aux gens d’une chose qu’il ne peuvent pas comprendre, cela sera une épreuve pour certains d’entre eux. » [Muslim (1/11)]

     

    Le Prophète (salallahu ‘alayhi wasalam) a exposé cela aux prédicateurs lorsqu’il dit à Mu’âdh Ibn Jabal en l’envoyant au Yémen en tant que prédicateur, enseignant et juge : « Tu vas vers un peuple des Gens du Livre… » [Al-Bukhârî (1458), Muslim (19)] Il lui a exposé la croyance des gens chez lesquels il allait arriver afin qu’il connaisse leur situation, s’y prépare et leur présente ce qui leur convient.

     

    Il dit également à ‘Â’ishah : « Ô cÂ’ishah ! Si ton peuple n’était pas si proche de leur [époque] de mécréance, j’aurais démoli la Ka’bah et l’aurait reconstruit avec deux portes : une porte par laquelle les gens entrent et une autre par laquelle ils sortent. » [Al-Bukhârî (126), Muslim (1333)] Le Prophète (salallahu ‘alayhi wasalam) a délaissé ce bienfait afin de ne pas tomber dans d’autres méfaits [1].

     

    Il est donc très important d’étudier la société et le lieu où la prédication va parvenir, car le prédicateur a besoin de connaître la situation de ceux à qui il s’adresse : leur croyance, leur situation psychologique, économique, sociale, scientifique. Il doit également bien connaître les lieux où se rassemblent les égarés et ceux qui ont dévié, leurs habitudes, leur langue, leur argot. Il doit cerner leurs problèmes, leurs dispositions naturelles, leur culture, leur capacité à débattre, leurs tendances et les ambiguïtés qui se sont répandues dans leur société [2].

     

    Le prédicateur sage doit cerner ce qu’il y a autour de lui et mesurer les circonstances dans lesquelles il prêche, en prêtant attention aux besoins des gens, leurs pratiques et tout ce qu’ils font.

     

    Le prédicateur ne réussira dans son prêche, sa transmission du message ne sera couronnée de succès, et ses paroles et actes ne seront pertinents que lorsqu’il connaîtra ceux à qui il s’adresse : est-ce une société de musulmans pécheurs, ou des musulmans parmi lesquels se sont répandues des innovations ? Est-ce une société judéo-chrétienne ? Si tel est le cas, sont-ils juifs ou chrétiens ? Est-ce une société athée, naturaliste, matérialiste ? Est-ce une société idolâtre et polythéiste ?

     

    Si le prédicateur connaît toutes ces choses, comment doit-il appeler ces groupes avec sagesse ? Que doit-il dire en premier ? Que doit-il reporter ? Quelles sont les choses les plus importantes ? Et quelles sont les idées essentielles par lesquelles il doit débuter ? Et ainsi de suite.

     

    Le prédicateur sage est semblable au médecin sage qui identifie clairement la maladie, la connaît et la cerne, puis donne le remède adéquat en fonction de l’état du malade et de la maladie, en prenant en compte l’état de faiblesse du malade et sa capacité à supporter le traitement. Le malade peut avoir besoin d’une chirurgie, et ainsi qu’on ouvre son ventre ou qu’on coupe un de ses membres, afin de stopper la maladie et qu’il retrouve la santé. Il en est de même pour le prédicateur sage qui connaît les maladies de la société, cerne le mal, connaît le remède, constate qu’elles sont les ambiguïtés et les obstacles et les lève. Puis, il présente la matière adéquate en commençant par la croyance islamique authentique, en donnant envie à celui à qui il s’adresse d’accepter cette croyance et de répondre à son appel.

     

    [1] Ibn Hajar a dit : « On peut en tirer qu’il faut laisser un bienfait afin de ne pas tomber dans un méfait, et délaisser la réprobation du mal de peur de tomber dans un mal plus grand encore. (Fath Al-Bârî, 1/225).

     

    [2] Voir Sharh Muslim (1/76, 197), Fath Al-Bârî (1/225), Zâd Ad-Dâ’iyah (p.7)

     

     

    Source : Comment appeler à Allah les athées et pécheurs musulmans

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