• Les propriétés de l'épouse :

    Dans le Christianisme :



    Jusqu'à récemment, ils suivaient les mêmes règles que le judaïsme. Les familles offraient à leurs filles des dots. Une femme pouvait réclamer sa dot si le mariage était annulé, sauf si elle était coupable d'adultère. Dans ce cas, elle perdait son droit à la dot au profit de son mari. La femme mariée en Europe et en Amérique chrétienne perdait son droit sur ses biens et ce jusqu'à la fin du 19ème siècle et début du 20ème. Elle perdait ses biens et sa personnalité. Aucun de ses actes n'avait de valeur légale. Pire, si une personne avait participé avec elle, cette dernière était coupable de crime et accusée de complicité de fraude. Elle ne pouvait ni attaquer en justice ni être attaqué, ni pouvait attaquer en justice son propre mari. L'épouse appartenait à son mari, elle perdait ses biens, sa personnalité légale et son nom de famille.

    Dans le judaïsme :

    Le mari possède son épouse comme s'il possédait une esclave. Cette conception est la raison du double norme dans les lois de l'adultère et du pouvoir du mari à annuler les serments de sa femme. Dès qu'une femme est mariée, elle perd complètement n'importe quel contrôle sur ses propres biens ou sur ses gains au profit de son mari. "Puisqu'il a pris possession d'une femme, n'est-il pas logique qu'il prenne possession de ce qu'elle possédait?". Le mariage peut rendre la femme la plus riche pratiquement sans le sou. Le Talmud décrit la situation financière de la femme : "Comment une femme peut-elle posséder quoique ce soit? Tout ce qui est à lui est à lui, et ce qui est à elle est aussi à lui...Ses propres salaires et ce qu'elle trouve dans la rue sont aussi à lui. Les objets du foyer, jusqu'aux miettes de pain sur la table sont à lui. Si elle aurait un invité à la maison et qu'elle le nourrissait, cela serait voler son mari..." (San. 71a, Git. 62a). Toute propriété de la femme n'a pour fonction que de susciter des prétendants au mariage. La famille juive assigne à une fille un part des biens du chef de famille pour l'utiliser comme dot en cas de mariage. C'est à cause de cette dot qu'avoir des filles est un fardeau pour les pères. La dot est un cadeau de mariage présenté au mari. Le mari devient propriétaire de la dot après le mariage et l'épouse perd tout contrôle. On lui demandait de travailler après le mariage et tous les gains qu'elle récoltait va au mari. Elle peut reprendre ses biens qu'en 2 occasions : le divorce ou la mort de son mari. Si la femme meurt en premier, le mari héritait de ses biens tandis que si l'homme meurt, la femme reprend sa dot originale sans prendre les biens de son mari.

    Dans l'islam :

    Depuis le 7ème siècle de l'ère chrétienne, l'islam a octroyé aux femmes mariées la personnalité indépendante que l'occident judéo-chrétien lui a refusée. La mariée et sa famille ne sont pas obligées de présenter un cadeau au mari. La fille n'est pas un handicap. Elle n'a pas besoin de cadeaux pour attirer des maris potentiels. C'est au prétendant de présenter un cadeau de mariage. Ce cadeau est la propriété de la femme, ni le prétendant, ni la famille n'ont de droit dessus. Elle retient ses cadeaux de mariage même si elle divorce plus tard. La mari n'a aucun droit sur les biens de sa femme excepté ce qu'elle accepte de lui offrir. "Et donnez aux épouses leur mahr, de bonne grâce. Si de bon gré, elles vous en abandonnent quelque chose, disposez-en alors à votre aise et de bon coeur" (Sourate 4 ; verset 4). Les biens sont sous son contrôle total et pour son utilisation car c'est le mari seul qui a la charge de subsistance de l'épouse et des enfants. Elle n'est pas obligée de subvenir aux besoins de la famille sauf si elle le veut volontairement. Les époux héritent mutuellement. Une femme mariée conserve son statut juridique légal en toute indépendance et son nom de famille.
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  • Les propriétés de l'épouse :

    Dans le Christianisme :


    Jusqu'à récemment, ils suivaient les mêmes règles que le judaïsme. Les familles offraient à leurs filles des dots. Une femme pouvait réclamer sa dot si le mariage était annulé, sauf si elle était coupable d'adultère. Dans ce cas, elle perdait son droit à la dot au profit de son mari. La femme mariée en Europe et en Amérique chrétienne perdait son droit sur ses biens et ce jusqu'à la fin du 19ème siècle et début du 20ème. Elle perdait ses biens et sa personnalité. Aucun de ses actes n'avait de valeur légale. Pire, si une personne avait participé avec elle, cette dernière était coupable de crime et accusée de complicité de fraude. Elle ne pouvait ni attaquer en justice ni être attaqué, ni pouvait attaquer en justice son propre mari. L'épouse appartenait à son mari, elle perdait ses biens, sa personnalité légale et son nom de famille.

    Dans le judaïsme :

    Le mari possède son épouse comme s'il possédait une esclave. Cette conception est la raison du double norme dans les lois de l'adultère et du pouvoir du mari à annuler les serments de sa femme. Dès qu'une femme est mariée, elle perd complètement n'importe quel contrôle sur ses propres biens ou sur ses gains au profit de son mari. "Puisqu'il a pris possession d'une femme, n'est-il pas logique qu'il prenne possession de ce qu'elle possédait?". Le mariage peut rendre la femme la plus riche pratiquement sans le sou. Le Talmud décrit la situation financière de la femme : "Comment une femme peut-elle posséder quoique ce soit? Tout ce qui est à lui est à lui, et ce qui est à elle est aussi à lui...Ses propres salaires et ce qu'elle trouve dans la rue sont aussi à lui. Les objets du foyer, jusqu'aux miettes de pain sur la table sont à lui. Si elle aurait un invité à la maison et qu'elle le nourrissait, cela serait voler son mari..." (San. 71a, Git. 62a). Toute propriété de la femme n'a pour fonction que de susciter des prétendants au mariage. La famille juive assigne à une fille un part des biens du chef de famille pour l'utiliser comme dot en cas de mariage. C'est à cause de cette dot qu'avoir des filles est un fardeau pour les pères. La dot est un cadeau de mariage présenté au mari. Le mari devient propriétaire de la dot après le mariage et l'épouse perd tout contrôle. On lui demandait de travailler après le mariage et tous les gains qu'elle récoltait va au mari. Elle peut reprendre ses biens qu'en 2 occasions : le divorce ou la mort de son mari. Si la femme meurt en premier, le mari héritait de ses biens tandis que si l'homme meurt, la femme reprend sa dot originale sans prendre les biens de son mari.

    Dans l'islam :

    Depuis le 7ème siècle de l'ère chrétienne, l'islam a octroyé aux femmes mariées la personnalité indépendante que l'occident judéo-chrétien lui a refusée. La mariée et sa famille ne sont pas obligées de présenter un cadeau au mari. La fille n'est pas un handicap. Elle n'a pas besoin de cadeaux pour attirer des maris potentiels. C'est au prétendant de présenter un cadeau de mariage. Ce cadeau est la propriété de la femme, ni le prétendant, ni la famille n'ont de droit dessus. Elle retient ses cadeaux de mariage même si elle divorce plus tard. La mari n'a aucun droit sur les biens de sa femme excepté ce qu'elle accepte de lui offrir. "Et donnez aux épouses leur mahr, de bonne grâce. Si de bon gré, elles vous en abandonnent quelque chose, disposez-en alors à votre aise et de bon coeur" (Sourate 4 ; verset 4). Les biens sont sous son contrôle total et pour son utilisation car c'est le mari seul qui a la charge de subsistance de l'épouse et des enfants. Elle n'est pas obligée de subvenir aux besoins de la famille sauf si elle le veut volontairement. Les époux héritent mutuellement. Une femme mariée conserve son statut juridique légal en toute indépendance et son nom de famille.
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  • Sheikh Nasser Ibn Abdil Karim Al Aql

    Qui sont les Druzes ? Sont-ils musulmans ?



    Réponse : Les Druzes sont une secte Batinite apparut au quatrième siècle en Égypte, qui s'est ensuite propagée dans les pays du Levant.
    Elle s'affilie à l'un de ses fondateurs Mohammed Ibn Ismaïl Al Dourouzy.
    Ils divinisent le gouverneur décidé par Allah (selon leurs dires) le Khalifa Fatimi.
    Sa croyance est un véritable mélange entre les religions forgées et déviantes, elle repose en fait sur des idées secrètes qui ne doivent être proclamées aux gens.
    Parmi les idées de cette croyance, renier les Prophètes et les Messagers que la paix soit sur eux en totalité ils n'en reconnaissent aucun. Ils ont la conviction aussi que le Messie est Hamza Al Zouzani qui est en autre un des fondateurs de cette secte. Ils considèrent que leur religion a abrogé la religion musulmane. Ils ont foi en la réincarnation qui est le déplacement des âmes d'un corps à un autre.
    Ils démentissent l'existence du Paradis, de l'Enfer et la rétribution des œuvres et le châtiment dans l'Au-delà. Le mariage avec une personne d'une autre confession qu'eux est interdit.
    Ils refusent quiconque désir embrasser leur religion.
    Quant aux compagnons du Prophètes qu'Allah les agrée, ils les insultent et les renient, leurs contrées sont désertes de mosquées car ils ont tout simplement la conviction qu'elles ne sont pas utiles.
    Ils manifestent leur affiliation à l'Islam sans doute pour tromper la masse.
    Ils se situent actuellement en Syrie, en Palestine et la majorité d'entre eux au Liban.


    Source : www.ar.m.islamway.net/fatwa/33543


    من هم الدروز؟ وهل هم مسلمون؟

    ناصر بن عبد الكريم العقل


    السؤال: من هم الدروز؟ وهل هم مسلمون؟

    الإجابة: الدروز فرقة باطنية نشأت في بداية القرن الرابع في مصر، ثم انتقلت إلى الشام، تنسب إلى أحد مؤسسيها وهو محمد بن إسماعيل الدرزي. هذه الفرقة تؤله الحاكم بأمر الله الخليفة الفاطمي، وعقائدها خليط من الأديان الوضعية والمنحرفة، وتعتمد على السرية في أفكارها فلا تنشرها للناس، من عقائدهم إنكار الأنبياء والرسل جميعا فلا يعترفون بهم، ويعتقدون بأن المسيح هو حمزة الزوزني، وهو أحد مؤسسي هذه الفرقة، كما يرون أن ديانتهم ناسخة لديانة الإسلام، ويقولون بتناسخ الأرواح، كما ينكرون الجنة والنار والثواب والعقاب الأخرويين، ويحرمون الزواج من غيرهم ،ولا يقبلون أحدا في ديانتهم، أما الصحابة فإنه يسبونهم سبا منكرا، ومناطقهم خالية من المساجد لعدم اعترافهم بها، وربما يتظاهرون بالإسلام على سبيل التقية. متواجدون الآن في سوريا وفلسطين ومعظمهم في لبنان.

    المصدر: موقع الشيخ ناصر بن عبد الكريم العقل

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