• Le remède pratiqué par le Prophète صلى الله عليه وسلم pour la maladie se présente sous trois formes

    Le remède pratiqué par le Prophète (sallallahu ’alayhi wa sallam) pour la maladie se présente sous trois formes :

     

     

    boutons063.gif  Le remède par les médicaments naturels

     

    boutons063.gif  Le remède par les médicaments divins

     

    boutons063.gif  Le remède composé des deux premiers

     

     

     

    Nous mentionnerons ces trois types de remède adoptés par le Prophète (sallallahu ’alayhi wa sallam) en commençant par les remèdes naturels qu’il a prescrits et utilisés.

     

     

     

    Nous exposerons par la suite les remèdes divins et composés.

     

     

     

    Le Prophète (sallallahu ’alayhi wa sallam) a été envoyé en tant que guide appelant à Allâh et à Son Paradis, en leur enseignant la connaissance d’Allâh, et en montrant à sa communauté les œuvres [qu’Allâh] agrée et les commandements [qu’Allâh] leur a prescrit [en leur expliquant] les raisons de ce qu’Il [Allâh] désapprouve et de ce qu’Il leur a interdit.

     

     

     

    [Le Prophète] a également informé des nouvelles des Prophètes et Envoyés, l’état de la situation avec leur communauté, les principes de l’éducation du monde, la question de la création et du rassemblement, l’infortune des âmes ainsi que leur félicité et ce qui en sont les causes.

     

     

     

    Quant à la médecine des corps, elle est le fruit de l’accomplissement de sa législation et le but visé en est autre, de sorte à ce qu’elle soit utilisée en cas de besoin.

     

     

     

    S’il est possible de s’en passer, les efforts et les forces devront être orientés vers le remède des cœurs et des âmes, le maintien en bonne forme, l’éloignement de leurs maladies, et leur protection de toute corruption.

     

     

     

    Tel est le but visé primordialement, en tout premier.

     

     

     

    L’amélioration [de l’état] du corps qui n’est pas en concordance avec l’amélioration [de l’état] du cœur n’est d’aucune d’utilité. La détérioration du corps avec l’amélioration du cœur n’engendre que les dégâts minimes, des dégâts éphémères qui donnent lieu à un intérêt permanent et complet, et c’est d’Allâh qu’émanent les grâces. 

     

     

     

    Kitâb « Zâd ul-Ma’âd fî hadî kheyr al-’Ibâd » de Ibn al-Qayyîm, 4/22

     

    copié de manhajulhaqq.com 

     

    Cheikh Muhammad Ibn Abî Bakr Ibn Qayyîm al-jawziya

     

    « medecine prophetiquela tristesse du malade »
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